L'argument commercial contre trop d'e-mails
Après la fin de la fermeture du gouvernement en janvier, un travailleur a rapporté être revenu à près de 4,500 emails non lus. C'est un symptôme d'un gouvernement dysfonctionnel, c'est certain. Mais c'est aussi le signe d'un outil qui a dépassé son utilité. Notre obsession collective de l'email est maintenant, sans aucun doute, en train d'entamer sérieusement nos journées, nos...